– Prends le temps

Prend le temps de réfléchir,
c’est la source du pouvoir.

Prend le temps de lire,
c’est la base de la sagesse.

Prend le temps de jouer,
c’est le secret pour rester jeune.

Prend le temps de garder ton esprit ouvert.
c’est l’occasion d’aider les autres.

Prend le temps de rire,
c’est la musique de l’âme.

Prend le temps de partager,
c’est le secret du bonheur.

Prend le temps de rêver,
c’est l’avenir qui en dépend.

Surtout et avant tout,
prend le temps de t’aimer un peu plus chaque jour.

CAR TU ES LE JOYAU LE PLUS PRÉCIEUX SUR LA TERRE

– Le coq du bonheur

Un jour un meurtre fut commis. Qui en était le responsable?
Certains disaient que le jour du crime, un pèlerin espagnol, de passage dans un village portugais, avait été vu aux environs, et diverses circonstances l’inculpaient, l’espagnol criait de son innocence, mais n’avait pas de preuve.

Arrêté, il fut alors condamné à la pendaison.
Le pauvre homme plaidait de son innocence, mais sans effet.
Comme dernière faveur, il supplia de comparaître encore une fois devant le juge.
Celui-ci dînait avec des amis, et devant tout le monde,
notre homme une fois de plus déclara son innocence.

«Je ne peux rien faire» de répondre le juge.
L’espagnol se croyant abandonné par l’humanité se tourna
vers les saints de sa foi.
Inspiré, il s’écria: «Je suis tellement innocent qu’avant de mourir,
ce coq rôti commencera à chanter.»
Tout le monde riait….
Le banquet continuait, mais le coq demeurait rôti.

Le soir tomba, les mots de l’homme résonnait toujours.
Tout à coup, au grand étonnement de tous, le coq rôti s’était transformé et chantait.
Le juge et ses invités s’empressèrent au lieu de la pendaison, juste à temps pour sauver le condamné, le pèlerin fut libéré…
et les foyers portugais avaient désormais une mascotte,
le coq en céramique gaiement décoré…
Le « Coq du Bonheur »

– Mon père

Quand j’avais !!!

4 ans: Mon papa peut tout faire.

5 ans: Mon papa sait beaucoup de choses.

6 ans: Mon papa est plus intelligent que ton papa.

8 ans: Mon papa ne sait pas tout à fait tout.

10 ans: Dans l’ancien temps, quand mon père était jeune,

les choses étaient très différentes.

12 ans: Oh! bien, naturellement, mon père ne connaît rien à ce sujet!

Il est trop vieux pour se souvenir de son enfance.

14 ans: Ne portez pas attention à mon père. Il est tellement vieux jeu!

21 ans: Lui ? Mon Dieu, il est désespérément démodé.

25 ans: Papa en connaît un peu à ce sujet;
c’est normal, il y a tellement longtemps qu’il roule sa bosse.

30 ans: Peut-être devrions-nous demander à papa ce qu’il en pense.
Après tout, il a tant d’expérience.

35 ans: Je ne ferai rien tant que je n’aurai pas parlé à papa.

40 ans: Je me demande comment papa s’y serait pris.
Il était si sage et avait énormément d’expérience.

50 ans: Je donnerais n’importe quoi pour que papa soit ici pour discuter
de cela avec lui.

Dommage que je n’aie pas reconnu son intelligence.
Il aurait pu m’en apprendre beaucoup.

– Cesse de tourmenter ton coeur

Ta perte fera surgir en toi de nombreuses questions.

Pourquoi moi?
Pourquoi à ce moment de ma vie?
qu’est-ce que j’ai fait pour que ça m’arrive?
Pourquoi Dieu m’envoie-t-il cette épreuve?
Etc.

« Sois patient envers ce qui n’a pas encore de réponse dans ton coeur »,
dit le poète.

Cesse de harceler ton coeur ou ton esprit.
Ils ne peuvent pas ou ne veulent pas te répondre car il savent
que certains réponses te seraient inutiles et d’autres,
insupportables,

Pour l’instant,
accueille les questions sans t’acharner d’y répondre

Laisse-toi les vivre.
Puis, un jour, tu te surprendras
à vivre les réponses à tes questions.

– Maudit Bonheur

L’HEURE EST GRAVE. IL FAUT À TOUT PRIX LUTTER CONTRE LE BONHEUR. SI UNE PERSONNE DANS VOTRE ENTOURAGE SEMBLE AIMER LA VIE, DE GRÂCE, NE L’ABANDONNEZ PAS.

    Vous vous êtes levé du bon pied ce matin?   Vous avez sifflé en vous rendant au boulot, vous avez salué votre voisin, vous vous sentez plutôt heureux?  Eh bien, cessez tout de suite de sourire, c'est mauvais pour votre santé.

    En effet, selon Richard Bentall, professeur de psychologie à l'Université de Liverpool, en Angleterre, le bonheur est suspect.   Dans un texte qu'il a fait paraître dans le Journal of Medical Ethics, ce scientifique tout ce qu'il y a de plus sérieux propose qu'on inclue le bonheur dans la liste des maladies mentales reconnues par l'Association américaine des psychiatres.   Selon lui, le bonheur cause des anomalies cognifives que l'on retrouve habituellement chez les patients souffrant d'un mal fonctionnement du système nerveux central.  Il peut être aussi néfaste que la dépression et la schizophrénie.

    Les gens heureux, a-t-il noté au fil de ses recherches, sont dans un état généralement positif, sourient plus que la moyenne et ont de fréquents contacts interpersonnels.  Pis:  ils ont tendance à vouloir imposer leur condition à leurs proches.  Ils ne se contentent pas de glousser tout seul dans leur coin; il faut qu'ils entraînent toute leur famille avec eux!

    Cela dit, il n'y a pas lieu de paniquer.   Même si la maladie est extrêmement rare.  De plus, la maladie ne dure jamais longtemps.  Les gens heureux finissent toujours par recouvrer la santé.  Ils se croient tellement au-dessus de tout qu'ils prennent des risques inconsidérés et finissent par se casser la gueule.  Ils conduisent trop vite, agissent de façon trop impulsive, font confiance aux étrangers qu'ils croisent dans la rue... et paf! un jour, ils finissent par faire une gaffe et par devenir malheureux.

    Richard Bentall n'est pas le seul scientifique à s'intéresser aux conséquences néfastes du bonheur.  Fred Goldner, sociologue du Queens College, a lui aussi étudié ce sujet.  Et il est arrivé à la conclusion que le bonheur cause la "pronia".

    Qu'est-ce que la pronia?  C'est le contraire de la paranoïa.  Alors que les paranoïaques croient que les gens complotent dans leur dos, les proniaques, eux, sont convaincus que les gens les trouvent admirables.  Ils se sentent tellement bien dans leur peau qu'ils n'acceptent aucun feed-back négatif.  Ils ne font pas la différence entre la politesse et l'amitié, et ils s'attachent à la moindre personne qui leur adresse un sourire.  Bref, les proniaques sont cons comme la lune.  Ils se croient irremplaçables, adorables, géniaux.

    À première vue, les recherches de Bentall et de Goldner paraissent absurdes.  Mais, lorsqu'on y pense, elles ne sont pas si bêtes.  En cette fin de siècle, le ciel se couvre, et les gens heureux sont de plus en plus traités comme des parias.  Dans les magazines, les mannequins font la gueule et ont l'air en mauvaise santé; au cinéma, les couples s'entre-déchirent; à la télé, les gens s'envoient promener et se crient des insultes... Dans le film The Truman Show , le héros, affable et souriant, se révèle être un simple d'esprit manipulé par un mégalomane.  Le sourire est devenu un signe de naïveté, pour ne pas dire de stupidité.

    Si ça continue comme ça, on va bientôt former des groupes de soutien pour les parents des personnes heureuses.  On les réunira dans une salle et on leur dira:  "Vous avez une personne heureuse dans votre famille.  C'est épouvantable.  Vous devez vivre un véritable enfer et craindre de succomber vous aussi à la maladie.  Mais nous avons une bonne nouvelle pour vous:  vous n'êtes pas seuls à souffrir.  Grâce à notre aide, vous pourrez vous en sortir.  Répétez après nous:  "La vie est terne, le monde est laid, l'environnement s'en va chez le diable, l'économie périclite, les jeunes sont violents et illettrés..." Vous verrez, dans deux semaines, vous serez enfin comme tout le monde:  fatigués, cernés, déprimés."

    Lecteurs, lectrices, l'heure est grave.   Il faut à tout prix lutter contre ce mal sournois.  Si une personne dans votre entourage sourit trop souvent et semble aimer la vie, de grâce, ne l'abandonnez pas.   Tendez-lui la main et essayez de lui gâcher son après-midi.  Un jour elle vous le rendra, j'en suis sûr.


J’ai trouvé ce document, écrit par RICHARD MARTINEAU/rédacteur en chef de Voir, dans la revue Actualité du 1er décembre 1998

– Aujourd’hui est à toi

La chose la plus précieuse que tu possèdes au monde est aujourd’hui.
Aujourd’hui, tu peux être heureux.

La plupart de nos misères sont des restes d’hier, des soupçons ou des craintes empruntés à demain.

Tous tes hiers, il les a repris; tous tes demains sont entre ses mains.
Aujourd’hui est à toi. Prends-en les joies et sois heureux. Prends-en les peines et sois toi.

Décide aujourd’hui même
de jouir de ton travail comme de tes loisirs.
Aujourd’hui est à toi, vis-le, chante-le
de sorte que toujours tu puisses dire:

J’ai aimé mes AUJOURD’HUI

merci Monique

– Question d’attitude

« Plus j’avance en âge plus je deviens conscient de l’importance de l’attitude face à la vie.

 L’attitude, pour ma part, est plus importante que les faits.
Plus importante que le passé, que l’éducation, que l’argent, que les
circonstances , que ce que les gens pensent, disent ou font.
Plus importante aussi que l’apparence, le talent ou les aptitudes.

Car . . .
c’est l’attitude qui fait qu’une entreprise… une église… 
un couple réussit ou échoue.

Il y a quelque chose de remarquable dans l’attitude,
c’est que nous pouvons la choisir au jour le jour.

Nul ne peut rien changer au passé…
Non plus qu’au fait que les gens agiront d’une certaine manière.
Non plus qu’à l’inévitable.

La seule corde à notre arc dont nous pouvons véritablement jouer,
c’est l’attitude…

Je suis persuadé que la vie est faite à 10% d’événements qui m’arrivent et à 90% de la manière dont je réagis à ces événements.

Il en va de même pour vous… 
car vous et moi sommes maîtres de nos attitudes. »

Anonyme

– Petite larme de Noël

Texte reçu d’un ami:

A la dernière minute, je me suis dépêchée de me rendre au magasin à rayons pour faire mes emplettes de Noël. Quand j’ai vu tout le monde qu’il y avait, je me suis mise à maugréer. » Je vais passer un temps interminable ici et j’ai encore tant de choses à faire. Noël commence vraiment à devenir une corvée. Ce serait tellement bien de me coucher et de me réveiller seulement après…

Mais je me suis fais un chemin jusqu’au département des jouets et là, j’ai commencé a maugréer contre le prix des jouets en me demandant si les enfants joueraient vraiment avec. Je me suis retrouvée dans l’allée des jouets. Du coin de l’oeil, j’ai remarqué un petit bonhomme d’environ 5 ans qui tenait une jolie petite poupée contre lui… Il n’arrêtait pas de lui caresser les cheveux et de la serrer doucement contre lui. Je me demandais à qui était destinée la poupée. Puis le petit garçon se retourna vers la dame près de lui: » Ma tante, es-tu certaine que je n’ai pas assez de sous? « . La dame lui répondit avec un peu d’impatience: » Tu le sais que tu n’as pas assez de sous pour l’acheter ». Puis sa tante lui demanda de rester là et de l’attendre quelques minutes. Puis elle partit rapidement.

Le petit garçon tenait toujours la poupée dans ses mains. Finalement, je me suis dirigée vers lui et lui ai demandé à qui il voulait donner la poupée. » C’est la poupée que ma petite sœur désirait plus que tout pour Noël – Elle était sûre que le Père Noël la lui apporterait » Je lui dis alors qu’il allait peut-être lui apporter. Il me répondit tristement: » Non, le Père Noël ne peut pas aller là ou ma petite sœur se trouve maintenant… Il faut que je donne la poupée à ma maman pour qu’elle lui apporte » Il avait les yeux tellement tristes en disant cela. » Elle est partie rejoindre Jésus. Papa dit que maman va aller retrouver Jésus bientôt elle aussi alors j’ai pensé qu’elle pourrait prendre la poupée avec elle et la donner à ma petite sœur » Mon cœur s’est presque arrêté de battre. Le petit garçon a levé les yeux vers moi et m’a dit:

» J’ai dit à papa de dire à maman de ne pas partir tout de suite. Je lui ai demandé d’attendre que je revienne du magasin » Puis il m’a montré une photo de lui prise dans le magasin sur laquelle il tenait la poupée en me disant: » Je veux que maman apporte aussi cette photo avec elle, comme
ça, elle ne m’oubliera pas. J’aime ma maman et j’aimerais qu’elle ne me quitte pas mais papa dit qu’il faut qu’elle aille avec ma petite sœur » Puis il baissa la tête et resta silencieux. Je fouillai dans mon sac a mains, sortis une liasse de billets et demandai au petit garçon:

» Et si on recomptait tes sous une dernière fois pour être sûrs ? «

» Ok » dit-il » Il faut que j’en aie assez » Je glissai mon argent avec le sien et nous avons commencé à compter. Il y en avait amplement pour la poupée et même plus. Doucement, le petit garçon murmura: » Merci Jésus pour m’avoir donné assez de sous » Puis il me regarda et dit: » J’avais demandé à Jésus de s’arranger pour que j’aie assez de sous pour acheter cette poupée afin que ma maman puisse l’apporter à ma sœur. Il a entendu ma prière. Je voulais aussi avoir assez de sous pour acheter une rose blanche à ma maman mais je n’osais pas lui demander. Mais il m’a donné assez de sous pour acheter la poupée et la rose blanche. Vous savez, ma maman aime tellement les roses blanches… «

Quelques minutes plus tard, sa tante revint et je m’éloignai en poussant mon panier. Je terminai mon magasinage dans un état d’esprit complètement différent de celui dans lequel je l’avais commencé. Je n’arrivais pas à oublier le petit garçon. Puis, je me suis rappelée un article paru dans le journal quelques jours auparavant qui parlait d’un conducteur en état d’ivresse qui avait frappé une voiture dans laquelle se trouvait une jeune femme et sa fille. La petite fille était morte sur le coup et la mère gravement blessée. La famille devait décider s’ils allaient la faire débrancher du respirateur. Est-ce que c’était la famille de ce petit garçon? Deux jours plus tard, je lus dans le journal que la jeune femme était morte. Je ne pus m’empêcher d’aller acheter un bouquet de roses blanches et me rendre au salon mortuaire ou était exposée la jeune dame. Elle était là, tenant une jolie rose blanche dans sa main, avec la poupée et la photo du petit garçon dans le magasin. J’ai quitté le salon en pleurant sentant que ma vie changerait pour toujours. L’amour que ce petit garçon éprouvait pour sa maman et sa sœur était tellement incroyable. Et en une fraction de seconde, un conducteur ivre lui a tout enlevé.

Les amis sont des anges qui nous soulèvent quand nos ailes n’arrivent plus à se rappeler comment voler…

Auteur Anonyme


Maintenant, vous avez deux choix:

1) transmettre ce message à ceux que vous connaissez

2) oublier ce message et faire comme si cette histoire ne vous avait pas touché. Mais si vous le transmettez, peut-être rejoindra-t-il quelqu’un assez pour l’empêcher de conduire après avoir pris de l’alcool.

– L’argent

On peut acheter le plaisir mais pas l’amour

On peut acheter un spectacle mais pas la joie

On peut acheter un esclave mais pas un ami

On peut acheter une femme mais pas une épouse

On peut acheter une maison mais pas un foyer

On peut acheter des aliments mais pas l’appétit

On peut acheter des médicaments mais pas la santé

On peut acheter des diplômes mais pas la culture

On peut acheter des livres mais pas l’intelligence

On peut acheter des tranquillisants mais pas la paix

On peut acheter des indulgences mais pas le pardon

On peut acheter de la terre mais pas le ciel.

– La boisson

Maman, je suis allée à une fête.
Je me suis souvenu de ce que tu me disais
Maman, tu m’avais dit de ne pas boire,
Alors, je n’ai bu que du cola.
Je me sentais, vraiment fière de moi,
Comme tu me l’avais dit,
Maman, je n’ai pas consommé du tout de la soirée.

Même si les autres me disaient que je pouvais,
Maman, je sais que j’ai fait le bon choix,
Je sais que tu as toujours raison.

Maman, la fête tire à sa fin.
Et tous s’en retournent chez eux,
En montant dans ma voiture,
Je savais que j’arriverais saine et sauve à la maison,
Parce que tu m’as appris à être responsable et gentille.

Maman, je démarre doucement,
Mais en m’engageant dans la rue,
L’autre voiture ne m’a pas vue,
Et m’a frappée de plein fouet.

Je suis étendue, sur le pavé,
J’entends un policier dire: « L’autre chauffeur était ivre »
Maman, maintenant c’est moi qui paie.

Maman, je suis étendue là, mourante ;
J’aimerais que tu sois là.
Comment est-ce possible?
Ma vie vient d’éclater, comme un ballon,
Maman, il y a trop de sang partout,
Et c’est le mien,
J’entends le docteur dire
Que je vais mourir bientôt!

Maman, je veux seulement te dire
Je jure que je n’ai pas bu.
Maman, c’était les autres,
Les autres n’ont pas réfléchi
Il était probablement à la même fête que moi.
La seule différence : Il a bu et Je vais mourir.

Maman, pourquoi les gens boivent-ils?
Ça peut détruire toute une vie
Je ressens une vive douleur,
Une douleur comme un couteau.

Maman, le gars qui m’a frappée marche de long en large,
Et je crois que c’est injuste.
Je meurs et il ne peut que me dévisager.
Maman, dis à mon frère de ne pas pleurer
Dis à mon papa d’être brave
Quand je serai partie au paradis
Inscris sur ma tombe: « La petite fille à papa »

Maman, quelqu’un aurait dû lui dire
Que l’alcool au volant, c’est criminel.
Si seulement on le lui avait dit,
Je ne serais pas en train de mourir.

Maman, mon souffle se fait plus court
j’ai très peur.
Maman, s’il te plaît ne pleure pas pour moi.
Tu étais toujours là quand j’avais besoin de toi.
Maman, j’ai une dernière question
Avant de te dire au revoir :
Je n’ai pas conduit après avoir bu de l’alcool,
Alors, pourquoi suis-je celle qui va mourir?

Auteur inconnu