– Oui, je suis fatiguée

Pendant plusieurs années, j’ai blâmé la quarantaine, la haute tension, le manque de vitamine, la pollution de l’air, l’obésité, la diète, l’odeur corporelle, l’accumulation de cire et une douzaine d’autres maladies qui me font penser, est-ce que la vie mérite d’être vécue?

Après maintes études, j’ai trouvé que le problème n’était pas là !!

Je suis fatiguée parce que je travaille trop.
La population de ce pays est de 27 millions.
11 millions sont retraités.
Il reste 16 millions pour faire le travail.
6 millions sont à l’école.
Il reste 10 millions pour faire le travail.
1 million sont sans emploi.
5 millions sont employés par le gouvernement.
Il reste 4 millions pour faire le travail.
1 million sont dans les forces armées.
2 millions sont employés par les municipalités et les comtés.
Il reste 1 million pour faire le travail.
Il y a 620 000 personnes dans les hôpitaux et 379 998 en prison.
Il ne reste que 2 personnes pour faire le travail.

TOI ET MOI

Et tu es assis sur ton derrière à lire ça.

C’EST EXACTEMENT POUR CETTE RAISON

QUE

JE SUIS FATIGUÉE

– Amour ou Illusion Maestro

Tu dis « je t’aime », je dis « je t’aime », mais est-ce que l’on s’aime réellement?

Tu me parles, je te parle, est-ce que nos mots se croisent vraiment?

Tu me regardes, je te regarde, est-ce que nous nous voyons sincèrement?

Tu m’écoutes, je t’écoute, est-ce que l’on se comprend mutuellement?

Tu dis oui, je dis non, est-ce vraiment important?

Tu pars, tu reviens, est-ce que je peux compter sur toi éternellement?

Tu es pressé, j’ai tout mon temps, est-ce trop un seul petit instant?

Tu n’es pas libre, je te comprends, est-ce manquer de discernement?

Tu m’appelles, j’accours, est-ce faire preuve d’un bon jugement?

Tu essaies d’expliquer, j’essaie d’assimiler, est-ce un pressentiment?

Tu es parti, je t’attend, voilà ce qu’est le néant?

Loul

– Gros cailloux

Un jour, un vieux professeur de l’École nationale d’administration publique fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d’une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines.

Ce cours constituait l’un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n’avait donc qu’une heure pour « passer sa matière ». Debout, devant ce groupe d’élite (qui était prêt à noter tout ce que l’expert allait enseigner) , le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : « Nous allons réaliser une expérience ».

De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Masson d’un gallon (pot de verre de plus de 4 litres) qu’il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu’au bord et qu’il fut impossible d’y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : « Est-ce que le pot est plein ? » Tous répondirent : « Oui ».

Il attendit quelques secondes et ajouta : « Vraiment ? »

Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s’infiltrèrent entre les cailloux…jusqu’au fond du pot. Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : « Est-ce que ce pot est plein ? »

Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L’un d’eux répondit : « Probablement pas ! ». « Bien! » répondit le vieux prof. Il se pencha de nouveau et, cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : « Est-ce que ce pot est plein ?

Cette fois, sans hésiter et en chœur, les brillants élèves répondirent : « Non ! » . « Bien ! » répondit le vieux prof. Et comme s’y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d’eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu’à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda : « Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?

Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : « Cela démontre que même lorsque l’on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire ».

« Non » répondit le vieux prof. « Ce n’est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite ».

Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l’évidence de ces propos

Le vieux prof leur dit alors : « Quels sont les gros cailloux dans votre vie ? »

« Votre santé ? » « Votre famille ? » « Vos ami(e)s ? » « Réaliser vos rêves ? » « Faire ce que vous aimez ? » « Apprendre ? » « Défendre une cause? » « Relaxer ? » « Prendre le temps…? » « Ou…toute autre chose ? ».

« Ce qu’il faut retenir, c’est l’importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir …sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n’aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie. Alors, n’oubliez pas de vous poser à vous-même la question : « Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ? » Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie) »

D’un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle

– Futur délinquant

Publié par la police de Houston, Texas

Dès l’enfance, donnez-lui tout ce qu’il désire.

Il grandira en pensant que le monde entier lui doit tout.

S’il dit des grossièretés, riez.

Il se croira très malin.

Ne lui donnez aucune formation spirituelle.

Quand il aura 18 ans, «il choisira lui-même ».

Ne lui dites jamais «c’est mal ».

Il pourrait faire un complexe de culpabilité. Et plus tard, lorsqu’il sera arrêté pour vol d’autos, il sera persuadé que la société le persécute.

Ramassez ce qu’il laisse traîner.

Ainsi, il sera sûr que ce sont toujours les autres qui sont responsables

Laissez-lui tout lire.

Stérilisez sa vaisselle, mais laissez son esprit se nourrir d’ordures.

Disputez-vous toujours devant lui.

Quand votre ménage craquera, il ne sera pas choqué.

Donnez-lui tout l’argent qu’il réclame.

Qu’il n’ait pas à le gagner. Quand vous n’en aurez plus, il n’aura qu’à le voler.

Prenez toujours son parti.

« Les professeurs, la police lui en veulent à ce pauvre petit ».

Que tous ses désirs soient satisfaits : nourriture, boisson, confort.

Sinon, il sera frustré.

Quand il sera devenu un vaurien,

Proclamez vite que vous n’avez jamais rien pu faire.

Préparez-vous à cette vie de douleur.

Vous l’aurez. Et cette vie de douleur ne sera pas seulement la vie des parents mais aussi celle des enfants.

Parents, surveillez les fréquentations de vos enfants…

Mais n’oubliez jamais que les personnes qu’ils fréquentent le plus,

c’est vous.

– Fable sur le Père Noël

Voici la fable que j’ai reçue par internet… une merveilleuse histoire
remettant en question l’existence logique du Père Noël….

Voici le point de vue d’un ingénieur (ou d’un « ninnégneur » si vous
préférez ) sur le Père Noël.

Il y a approximativement deux milliards d’enfants (moins de 18 ans) sur Terre. Cependant, comme le Père Noël ne visite pas les enfants Musulmans, Hindous, Juifs ou Bouddhistes (sauf peut-être au Japon), ceci réduit la charge de travail pour la nuit de Noël à 15% du total, soit 378 millions.

En comptant une moyenne de 3.5 enfants par foyer, cela revient à 108 millions de maisons, 54 millions en présumant que chacune comprend au moins un enfant sage. Le Père Noël dispose d’environ 31 heures de labeur dans la nuit de Noël, grâce aux différents fuseaux horaires et à la rotation de la Terre, dans l’hypothèse qu’il voyage d’Est en Ouest, ce qui parait d’ailleurs logique.

Cela revient à 967,7 visites par seconde. Cela signifie que pour chaque foyer chrétien contenant au moins un enfant sage, le Père Noël dispose d’environ un millième de seconde pour parquer le traîneau, sauter en dehors, dégringoler dans la cheminée, remplir
les chaussettes, distribuer le reste des présents au pied du sapin,
déguster les quelques friandises laissées à son intention, regrimper dans la cheminée, enfourcher le traîneau et passer à la maison suivante.

En supposant que chacun de ces 108 millions d’arrêts sont distribués
uniformément à la surface de la Terre (hypothèse que nous savons fausse, bien sûr, mais que nous accepterons en première approximation), nous devrons compter sur environ 1,4 kilomètres par trajet. Ceci signifie un voyage total de plus de 150 millions de kilomètres, sans compter les détours pour ravitailler ou faire pipi. Le traîneau du Père Noël se déplace donc à 1170 kilomètres par seconde (3000 fois la vitesse du son).

A titre de comparaison, le véhicule le plus rapide fabriqué par l’homme, la sonde spatiale Ulysse, se traîne à 49 kilomètres par seconde et un renne moyen peut courir au mieux de sa forme à 27 kilomètres à l’heure.

La charge utile du traîneau constitue également un élément intéressant. En supposant que chaque enfant ne reçoit rien de plus qu’une boîte de Lego moyenne (un kilo), le traîneau supporte plus de 500 mille tonnes, sans compter le poids du Père Noël lui-même.

Sur Terre, un renne conventionnel ne peut tirer plus de 150 kilos. Même en supposant que le fameux « renne volant » serait dix fois plus
performant, le boulot du Père Noël ne pourrait jamais s’accomplir avec 8 ou 9 bêtes; il lui en faudrait 360 000. Ce qui alourdit la charge utile, abstraction faite du poids du traîneau, de 54 000 tonnes
supplémentaires, nous conduisant à bonnement 7 fois le poids du Prince Albert (le bateau, pas le monarque).

600 000 tonnes voyageant à 1170 kilomètres par seconde créent une énorme résistance à l’air. Celle-ci ferait chauffer les rennes, au même titre qu’un engin spatial rentrant dans l’atmosphère terrestre. Les deux rennes en tête de convoi absorberaient chacun une énergie calorifique de 14 300 millions de joules par seconde. En bref, ils flamberaient quasi instantanément, exposant dangereusement les deux rennes suivants. La meute entière de rennes serait complètement vaporiséee en 4.26 millièmes de secondes, soit juste le temps pour le Père Noël d’atteindre la cinquième maison de sa tournée.

Pas de quoi s’en faire de toute facon, puisque le Père Noël, en passant de manière fulgurante de zéro à 1170 km/s en un millième de seconde, serait sujet à des accélérations allant jusqu’à 17 500 G’s. Un Père Noël de 125 kilos (ce qui semble ridiculement mince) se retrouverait plaqué au fond du traîneau par une force de 2 157 507,5 kilos, écrabouillant instantanément ses os et ses organes et le réduisant à un petit tas de chair rose et tremblotante.

C’est pourquoi, si le Père Noël a existé, il est mort maintenant.

Joyeux Noël

– Et la vie continue…

T’es un enfant, quand tu n’as rien à dire au téléphone
T’es un ado, quand tu parles des heures au téléphone
T’es un adulte, quand tu payes les comptes de téléphone

T’es un enfant, quand tu t’habilles comme ta mère le veut
T’es un ado, quand tu t’habilles comme tu veux
T’es un adulte, quand tu t’habilles comme tu peux

T’es un enfant, quand tu dors toute la nuit
T’es un ado, quand tu dors toute la journée
T’es un adulte, quand tu n’arrives plus à dormir du tout

T’es un enfant, quand tu apprends tout le temps
T’es un ado, quand tu n’apprends plus rien du tout
T’es un adulte, quand tu as tout oublié

T’es un enfant , quand tu ne comprends rien de ce qu’on te dit
T’es un ado, quand personne ne comprend rien de ce que tu dis
T’es un adulte, quand personne ne s’intéresse à ce que tu dis

T’es un enfant, quand tu ne sais même pas ce que tu vis
T’es un ado, quand tu dis que tu n’as pas demandé à vivre
T’es un adulte, quand tout ce qu’il te reste, c’est le savoir-vivre